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J'aime bien faire la cuisine. Je cuisine le basboussa , le gâteau à la semoule.
On fait les falafels mais chez nous, la recette est avec des fèves.

Alimentation

J'aime bien faire la cuisine. Je cuisine le basboussa , le gâteau à la semoule.
On fait les falafels mais chez nous, la recette est avec des fèves.


J'aime bien faire la cuisine. Je cuisine le basboussa , le gâteau à la semoule.
On fait les falafels mais chez nous, la recette est avec des fèves.
J'aime l'agneau. Hier, on a fait de l'agneau avec du pain, de la soupe avec la sauce tomate et de l'ail.
A pâques, on mange le poisson avec beaucoup de sel.
En Égypte il y a des bonnes pastèques et de la mangue aussi.

La béchamel, c'est aussi une tradition égyptienne, avec les macaronis. On fait ça au four.

On mange beaucoup en Égypte, mais ici en France, pas trop.
Les gens sont plus gros en Égypte.

On n'a pas d'organisation de repas spécifique chez nous, quand on a besoin de manger, on mange. On mange toute la journée.

Avant, je cuisinais beaucoup, maintenant, je prends moins de temps.
On a plusieurs spécialités pounded yam par exemple, c’est une base (sorte de igname) qu’on peut faire en soupe ou en plat.
Ici, on utilise les pâtes, le riz.
On prépare des plats africains mais la viande et les légumes ne sont pas les mêmes, et pour trouver nos propres légumes, c'est très cher.

Ce n'est pas mon truc de faire la cuisine toute la journée, mais parfois tu sais, tu veux manger ce truc particulier, et alors tu cherches les ingrédients.

A Marseille, c'est très bien, il y a beaucoup de produits africains, asiatiques, indiens.
Ici, on aime bien les frites, la baguette.
Nos enfants mangent à la cantine mais nous, on ne connaît pas trop la cuisine française.
Chez nous, tu manges ce que tu veux quand tu veux, il n'y a pas de normes sur ça. Salé, sucré, c’est pareil.
Chez nous, on adore inviter et donner beaucoup de nourriture aux invités notamment lors de l’Aïd.
Ma mère cuisinait environ pendant deux jours pour cet évènement !
Elle, elle ne mangeait pas beaucoup, mais elle faisait pour tout le monde, ça lui plaisait.

Nous, quand on cuisine, c’est directement pour plusieurs jours car nous cuisinons pour beaucoup de monde.

Ici, les gens aiment les steack saignants ; nous, on les mange très cuits.

Voici une journée type :
On prend le petit-déjeuner, avec une galette, du thé avec du lait, Tcha.
La galette, s’appelle le Rwouti, ça prend deux heures à se préparer environ. Et on mange aussi du carry poulet ou végétarien.
Parfois on peut ajouter des œufs, des oignons, et du piment.
Les enfants boivent de l’eau, et mange des Rwoutis ou gâteaux.
Ils ont des choses à emporter pour l’école, les mamans préparent des snacks.
A 11h, on mange des snacks, ça dépend des classes sociales. Il y a du thé, des gâteaux, des choses salées.
Et après, vers 13h30 on fait un déjeuner.
C’est souvent du riz au curry.
Le riz est notre aliment principal, on ne peut pas vivre sans le riz !
Et on met des épices dans tout ;
Dans les grandes familles, il y a quatre ou cinq menus dans la journée.
Chez moi, c’est trois, curry, soupe aux lentilles, snacks.
Et le soir, on mange des snacks, au Bangladesh, et ici aussi, on fait pareil.
Par exemple, des chigala, galette de pommes de terre, avec épices, légumes.

Ma mère faisait de très bons snacks, j’attendais ce moment toute la journée !
Les mères travaillent beaucoup dans la cuisine, c’est trop ! Elles cuisinent pour le déjeuner et le soir en même temps.
Elles se lèvent à 5h du matin.
Moi, mon père ne faisait rien du tout dans la maison, car on payait des gens.
Mais ici, je ne peux pas payer des gens, je fais des choses dans la maison avec ma femme.

Normalement, je devrais arriver, m’asseoir, manger et voilà.

Une amie d’Abbeville m’a appris les îles flottantes et la mousse au chocolat.
J’aime beaucoup la pâtisserie donc ce n’est pas trop difficile pour moi.
Je n’aime pas tant que ça les manger, mais j’adore les cuisiner, et faire des compositions.
Je suis la personne la plus heureuse du monde, quand je fais ça.
Quand j’ai le temps, je vais dans des magasins, je cherche des décorations pour faire des belles photos de mes plats.
J’ai étudié cela avec un groupe professionnel, on fait des formations en ligne ; j’ai fait ça pendant deux ans.

C’est mon rêve, je n’aurais pas pu envisager de faire ça dans mon pays, ça aurait été très mal vu, mais ici je peux !

On trouve presque tout ici, le poisson n’est pas le même mais on trouve des poissons très bons.
On va au Vieux-Port et à Noailles et ensuite on les cuisine à notre façon.
La plupart des légumes sont disponibles, les fruits, ça va. Il n’y a que le poisson séché, ils ne font pas ça ici.
Avant, on mangeait beaucoup de bœuf, mais ici c’est plus cher.

Je ne suis pas fan des épices, pour moi, au Bangladesh, c’est trop piquant, et aujourd’hui, on en met moins, pour les enfants, on a changé nos habitudes par rapport à ça.
On mange aussi des crevettes, des fruits de mer comme chez nous.

Ici, on aime le poulet, les pommes de terre, la sauce tomate, la ratatouille. J’ai découvert tout ça car je travaille en restauration.

Dans notre pays, il y a beaucoup de pommes de terre mais pas en remplacement du riz ou des pâtes. On les mange ensemble, c’est dans la sauce comme un autre légume.
Les citrouilles on les mange comme gâteau ; on ne le met pas dans les plats salés.

Nous avons beaucoup de spécialités à L’Île Maurice : des pâtisseries, Poudine manioc, vindaye, napolitaine.
Les plats classiques, c’est Briani Poulet, mine frit, sorte de nouilles sautées avec viande, poulet ou légumes. On met beaucoup d’’épices.

En France, on trouve la nourriture trop fade.

Je me souviens une fois mon copain a organisé un barbecue, et il a attrapé la viande comme ça et l’a mise directement sur la grille.
J’étais choquée ! Chez nous, c’est impossible ! On fait une marinade, avec plein d’ingrédients. Depuis il a appris à la faire aussi et il adore ça.

Les poissons, on en retrouve ici : le capitaine, la vieille, les rougets.
Chez nous, on a le poisson perroquet, qu’on cuisine avec la sauce tomate.
Encore aujourd’hui, on cuisine tout à la mauricienne, même ma fille.
C’est un peu moins détaillé, elle passe moins de temps en cuisine que moi, mais quand même, elle sait faire tous les plats.

On boit de l’alcool, on boit tout, pas de tabou sur ça.

On fait Dolma, les légumes farcis, kleicha. Il y a beaucoup, beaucoup de choses. Je fais plein de plats différents.

On utilise aussi beaucoup les crevettes, le poisson, ce n’est pas cher en Irak. Le poisson vient des ports. C’est très grand.

La nourriture française C’est pas comme nous, pâtes, salades.

J’aime beaucoup cuisiner. La cuisine irakienne demande beaucoup de temps, deux ou trois heures.

J’avais le temps car là bas je ne travaillais que le matin: je préparais le repas le soir, et après, le matin j’allais à l’école, je rentrais à la maison, je faisais chauffer le repas, et on mangeait !

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